L’héroïne du jour, Céline Dumerc revient avec humour et modestie sur ses deux tirs décisifs qui ont offert la victoire à l’Equipe de France.
Vos deux tirs sont bien évidemment le résultat de systèmes bien exécutés…
Tout était prévu. On répète ça souvent à l’entraînement. Mais j’en ai marre qu’on se fasse peur et qu’on joue avec le feu. Pour l’instant cela nous réussi donc on se saute dessus comme des folles, on est heureuses. Peut-être est-ce la magie des Jeux que de faire des matches comme ça. Nous avons mis une mi-temps à nous mettre dedans et à appliquer les consignes. C’est encourageant parce qu’on peut faire beaucoup mieux. Je suis très fière de mon équipe ce soir car nous avons su donner la balle où il fallait, prendre les shoots qu’il fallait.
Parlez-nous de ces deux tirs…
Il n’y a pas grand-chose à dire. A -3 je regarde le coach et je lui demande s’il faut vite aller cherche un panier facile ou tire à trois-points. Il me dit le trois-points. Je voulais la passer à Edwige Lawson et comme il n’y a pas d’aide. J’en prends souvent à l’entraînement pour déconner mais ça fait rarement swish. C’est le bonheur et je pense à ma famille qui doit être aux anges. C’est un moment intense. Mais ce que je retiens c’est la victoire collective.
Comment jugez-vous l’alternance intérieur-extérieur des Bleues jusqu’à présent ?
Ces dernières années nous étions peut-être trop focalisées sur le jeu intérieur. Depuis deux ans nous savons que nous sommes ciblés dans ce domaine et les aides poussent à ressortir les ballons. Aujourd’hui il y a des prises de responsabilité dans le tir extérieur que nous n’avions pas auparavant. Tout est une question d’équilibre, de confiance. Ces moments-là sont générateurs de confiance et cela me rappelle 2009 avec pas mal de hold up. C’est une belle histoire.
Vos deux tirs sont bien évidemment le résultat de systèmes bien exécutés…
Tout était prévu. On répète ça souvent à l’entraînement. Mais j’en ai marre qu’on se fasse peur et qu’on joue avec le feu. Pour l’instant cela nous réussi donc on se saute dessus comme des folles, on est heureuses. Peut-être est-ce la magie des Jeux que de faire des matches comme ça. Nous avons mis une mi-temps à nous mettre dedans et à appliquer les consignes. C’est encourageant parce qu’on peut faire beaucoup mieux. Je suis très fière de mon équipe ce soir car nous avons su donner la balle où il fallait, prendre les shoots qu’il fallait.
Parlez-nous de ces deux tirs…
Il n’y a pas grand-chose à dire. A -3 je regarde le coach et je lui demande s’il faut vite aller cherche un panier facile ou tire à trois-points. Il me dit le trois-points. Je voulais la passer à Edwige Lawson et comme il n’y a pas d’aide. J’en prends souvent à l’entraînement pour déconner mais ça fait rarement swish. C’est le bonheur et je pense à ma famille qui doit être aux anges. C’est un moment intense. Mais ce que je retiens c’est la victoire collective.
Comment jugez-vous l’alternance intérieur-extérieur des Bleues jusqu’à présent ?
Ces dernières années nous étions peut-être trop focalisées sur le jeu intérieur. Depuis deux ans nous savons que nous sommes ciblés dans ce domaine et les aides poussent à ressortir les ballons. Aujourd’hui il y a des prises de responsabilité dans le tir extérieur que nous n’avions pas auparavant. Tout est une question d’équilibre, de confiance. Ces moments-là sont générateurs de confiance et cela me rappelle 2009 avec pas mal de hold up. C’est une belle histoire.